Étude Désir de nature – 25 portraits sociologiques

• Réalisation de 25 entretiens semi-directifs
  ○ Durée moyenne de 1h15 ;
  ○ Réalisés en distanciel ;
  ○ Retranscrits intégralement ;
  ○ 4 mois d’enquête de terrain.
• Profil des enquêté·e·s
  ○ 15 femmes / 10 hommes âgé·e·s de 19 à 67 ans ;
  ○ Diversification des profils : situations professionnelle et familiale et lieu de résidence
  (appartement, maisons individuelles, maison de village, etc.) ;
  ○ 13 départements : Rhône, Var, Hérault, Isère, Alpes-maritime, Savoie, Pyrénées-Orientales,
  Hautes-Alpes, Alpes de Haute Provence, Bouches-du-Rhône, Vaucluse, Haute-Corse.

Les 25 enquêté·e·s ont été réparti·e·s sur un double axe symbolisant deux échelles (voir schéma) :
○ L’accès à la nature pensé en abscisse comme un continuum entre un accès très restreint à la nature
(peu ou pas d’accès) et un accès direct et sans limite à de grands espaces naturels.
○ L’engagement pour la protection de cette nature pensé en ordonnée avec des degrés
d’engagement plus ou moins fort (peu ou pas d’engagement, engagement individuel, engagement
collectif)

Le positionnement a fait émerger 4 grands profils type :

• Les militant·e·s, Niveau d’engagement collectif important / Niveau d’accès à la nature variable ;
• Les engagé·e·s individuel·le·s, Niveau d’engagement individuel plus ou moins fort / Niveau
  d’accès à la nature moyen ;
• Les hédonistes, Niveau d’engagement individuel plus ou moins fort / Niveau d’accès à la
  nature très fort ;
• Les contraint·e·s, Niveau d’engagement faible / Niveau d’accès à la nature faible voire très
  faible.

Il ne s’agit pas de réduire la diversité des expériences individuelles observées à ces grandes catégories mais bien de comprendre les différences de positionnement des enquêté·e·s à partir de deux grandes variables. On peut ainsi retrouver des enquêté·e·s à la frontière de plusieurs catégories.